La méthode développée à cet effet est basée sur des principes de démocratie directe et collaborative, garantissant le droit de la parole égal pour tous. Elle débouche sur des synthèses co-construites aussi bien au niveau de petits groupes de citoyens qu’au niveau d’un territoire local, puis régional, national et à l’échelle mondiale.
Plus de 10000 citoyens d’une vingtaine de pays ont participé à ce processus depuis son lancement en 2005, permettant de disposer d’une base de données de plus de 100000 critères de bien-être et mal-être et d’une synthèse à l’échelle intercontinentale qui met clairement en évidence la multi-dimensionnalité du bien-être de tous exprimé par l’humanité dans sa diversité avec ses différentes dimensions et composantes.
Rencontres de Mulhouse décembre 2017